Test comparatif : Aprilia RS 660 vs Yamaha R7

Nous avions tous espéré que le segment des motos supersport de moyenne cylindrée connaîtrait une renaissance. Après tout, Aprilia avait lancé sa RS 660 il y a deux ans ( !), et Yamaha avait présenté la R7 un peu plus tard. Le signal de départ d’un renouveau ? Pas pour l’instant, car les autres marques ne suivent pas. Honda a la CBR650R et Kawasaki la Ninja 650, mais ce sont des machines plutôt orientées vers une utilisation quasi routières. Les RS 660 et R7 se concentrant davantage vers une utilisation sportive avec option piste. C’est pourquoi nous nous sommes rendus sur le circuit de Mettet, pour un petit affrontement entre ces deux concurrentes.

Versions spéciales

Le temps passe vite, l’Aprilia RS 660 a été lancée en 2020 et la Yamaha R7 l’année dernière. Ce ne sont pas de vielles motos, n’exagérerons pas, mais elles ne sont plus tout à fait nouvelles. Néanmoins ce sont des éditions spéciales 2022 qui nous attendent dans le paddock du Circuit de Mettet. Aprilia rend hommage à sa victoire en MotoAmerica Twin Cup avec la RS 660 Limited Edition. Le design ” stars & stripes ” semble très réussi, mais ce n’est pas tout, puisque ce modèle limité à 1 500 unités reçoit également une selle monoplace, un carénage de tête fourche plus large et un logiciel pour régler la boîte de vitesses quick shift en configuration inversée, idéale pour la conduite sur piste. De jolis extras qui donnent à l’Aprilia ce petit plus par rapport à la moto standard.

Supplément de 400 euros

Yamaha adopte une approche un peu plus simple pour cette édition “60e anniversaire”. La R7 est livrée dans l’emblématique livrée blanche et rouge “speed block” qui rappelle les couleurs des premières machines alignée en GP il y a 60 ans. Et c’est tout … Des accessoires tels qu’un quickshifter, une bulle plus haute ou une selle monoplace peuvent toutefois être commandés séparément. Nous pensons que la R7 – et toute la gamme R avec les R125, R3, R7 et R1 – est superbe dans ce design. Et cela pour un prix supplémentaire de seulement 400 € dans le cas de la R7. Mais le hic, c’est que dans un même temps, Aprilia demande un supplément de… 400 euros pour le pack Limited Edition. Et puisque nous parlons de prix, la RS 660 Limited Edition coûte 11 999 €, et la R7 World GP 60th Anniversary 9 899 €. Vous pouvez donc deviner ce que nous allons tenter de comprendre à travers ce test.

Qui est la plus belle ?

En clair, la différence de prix de plus de 2 000 euros entre les deux modèles est-elle justifiée ? Pour cela, examinons dans un premier temps les deux machines avant de prendre la piste. Ce n’est pas dans la finition et le souci du détail que la différence peut se faire. Par contre, sur le plan du design, l’Aprilia est particulièrement réussie. Du moins, à nos yeux. Il s’agit manifestement bien d’une Aprilia, avec sa signature lumineuse typique à l’avant et son mini-cul ajouré à l’arrière. L’échappement presque entièrement dissimulé sous le bloc moteur et l’écran TFT sont également magnifiques. Yamaha utilise toujours un tableau de bord LCD bon marché et surtout ringard sur sa R7.

Ce n’est pas dans la finition et le souci du détail que la différence peut se faire.

Dommage d’une part, mais d’autre part, vous pouvez y trouver toutes les informations dont vous avez besoin et il est extrêmement clair. En regardant de plus près cette R7, son design est un peu plus futuriste. L’avant du carénage regroupe des optiques faisant références à la R6 et la R1. En option, notre moto d’essai est équipée d’un superbe échappement Akrapovic qui devrait faire oublier le modèle standard quelque peu basique. La R7 équipée de cet accessoire a tout à gagner en termes d’apparence, de son et de performances.

Choisir la plus belle des deux motos ? C’est une question difficile, car elles ont toutes deux un look spécial. Elles se distinguent par un design spécifique et respirent la sportivité. Si nous devons choisir, nous optons pour la R7 pour son approche légèrement plus élégante.

Accessible à tous

Assez de bavardage sur le style, il est temps maintenant de prendre la piste avec ces deux bêtes. Ce n’est pas pour rien que nous avons choisi ce diminutif, car malgré leur apparence agressive, les RS 660 et R7 ne développent que respectivement 100 et 73 ch. Ce n’est pas une débauche de puissance, et nous n’en sommes que trop heureux. Sur le circuit relativement court de Mettet, vous ne pouvez pas faire grand chose avec des monstres de +200 cv. Nous débutons ce test avec la moins puissante des deux. Nous avions déjà piloté la Yamaha R7 durant sa présentation à la presse, sur le circuit d’Almeria en Espagne. Et l’anneau de Mettet est parfait pour elle. Son poids assez réduit de 188 kilos fait ici merveille, même si elle est 5 kg plus lourde que la RS 660. Elle est facilement gérable et se prête parfaitement au tarmac belge.

Le mot de code de la R7 est : facilité. Elle se dirige aisément et avec précision, sa puissance est gérable et elle est accessible à tous. Surtout entre des mains non – ou peu – expérimentées. Son caractère direct fait que vous n’avez jamais peur de son potentiel. Elle fait rarement des choses inattendues et vous permet de garder toujours le contrôle. Cela vous donne toute la confiance nécessaire. Ce qui est très apprécié sur circuit, pour continuer à aller un peu plus vite.

Bien sûr, on peut aussi exagérer…

Le meilleur moteur du monde

Le moteur CP2, qualifié à plusieurs reprises de “meilleur moteur du monde” par la rédaction, réagit un peu plus nerveusement que ce à quoi nous sommes habitués sur une MT-07, une Tracer 7 ou une XSR700. Sur la voie publique, la R7 peut parfois donner lieu à des réactions trop brutales, notamment en raison de l’absence d’antipatinage. Si vous roulez sous la pluie, il faut rester vigilant. Mais sur circuit, où l’on roule généralement à haut régime, cette réponse légèrement plus brusque de l’accélérateur s’avère très pratique. La machine doit également tirer le maximum de ses capacités pour utiliser pleinement les 73 chevaux disponibles. Il n’y en a pas beaucoup, mais la façon dont ils sont délivrés sur la route est tout aussi importante. Mais la R7 peut aussi s’appuyer sur son couple. En effet, avec 67 Nm, elle en délivre autant que sur l’Aprilia pourtant plus puissante de 27 ch. De plus, la Yamaha le distille 2 000 tr/min plus bas. Par conséquence, une erreur de débutant, comme entrer dans un virage avec un rapport trop élevé, n’est pas un réel problème pour la R7. Même dans ce cas, elle reprend en douceur et vous pouvez continuer votre session en toute sérénité.

Sérieux manquement

Une fois que l’on s’est habitué au rythme étonnamment rapide que l’on peut adopter avec la R7, on ose encore un peu plus. Ce faisant, on remarque à quel point cette moto est équilibrée. Cela s’applique à tous les aspects : du freinage à la rigidité du châssis dans les virages (rapides) et à la précision de la suspension avant. Vous ne risquez pas de vous sortir les yeux de leurs orbites lorsque vous ressentirez un certain flottement à 180 km/h. Car à cette vitesse, la R7 reste contrôlable, d’une manière très indulgente. Une moto idéale pour ceux qui ont déjà une certaine expérience de la route, et qui recherchent un peu plus de sensations sur piste. Relevons maintenant, quelques points négatifs que nous avons remarqués durant cet essai. A commencer par le quickshifter. Il est optionnel, ce qui est un peu bizarre pour une moto “typée piste” … De plus, il ne fonctionne qu’à la montée des rapports, ce qui oblige à débrayer pour rétrograder. Un sérieux handicap à notre sens. Heureusement, l’embrayage à glissement assisté compense bien les choses, de sorte que vous n’aurez jamais la roue arrière bloquée si vous perdez un peu le contrôle des doigts de votre main gauche.

10 cv supplémentaires s’il vous plaît

Une autre chose concerne la puissance absolue. Bien que vous vous amusiez en virage et dans les portions techniques comme le” corkscrew”, à la longue, vous ressentirez une certaine lassitude en ligne droite. Il est certain qu’une forte sensation d’accélération est quelque chose que l’on recherche sur circuit, mais dès que l’on dépasse les 140 km/h, cette sensation disparaît rapidement sur la R7. Chez Yamaha, on aurait pu résoudre ce problème relativement facilement en augmentant la puissance du moteur CP2 – 10 ch de plus auraient suffi – mais alors, il aurait fallu, bien sûr, augmenter le prix (quoi que !). Nous comprenons donc la décision de ne pas le faire, mais cela reste dommage.

Photoshop, vous dites ? Pas du tout, c’est juste la physique qui fait son effet dans le corkscrew .

Mieux, plus vite, plus fort

Nous pouvons donc passer directement à la conclusion de ce test, car l’Aprilia fait tout ce que la Yamaha fait, mais juste un peu mieux. Elle est plus rapide, mieux équipée en électronique, freine plus fort, tourne plus facilement et se dirige avec plus de précision. Des questions ? Non, alors on peut charger les motos et rentrer à la maison.


Sans blague, ce ne serait pas faire honneur à l’incroyable RS 660 que d’écrire si peu à son sujet. Pourtant, tout est contenu dans le paragraphe précédent. Vous remarquez clairement une différence lorsque vous passez de la Yamaha à l’Aprilia. Cela ne tient pas seulement aux réglages de l’électronique, mais aussi au moment où vous tournez la manette des gaz pour la première fois. Un mot sur ces réglages, car il est évident qu’on ne peut pas, en ces temps modernes, commercialiser une moto de sport italienne sans une panoplie d’aides à la conduite. La RS 660 dispose de cinq modes de conduite.

Et c’est en montant un peu plus haut dans les tours que l’on retrouve vraiment l’excitation espérée.

Le mode Time Attack vous permet de régler personnellement, le contrôle de la traction, le contrôle du wheelie, le frein moteur, la carto et le régulateur de vitesse. Vous n’avez évidemment pas besoin de ce dernier paramètre sur circuit, mais il augmente le confort principalement sur l’autoroute. Une fois que vous avez fait votre choix, vous remarquez à quel point le bicylindre italien est plus souple. Cela amenuise l’expérience, mais procure aussi une certaine forme de sérénité. Et c’est en montant un peu plus haut dans les tours que l’on retrouve vraiment l’excitation espérée. La différence de puissance avec la Yamaha est très nette, et dans la ligne droite, la RS 660 se détache invariablement.

C’est parti pour un tour

Pour bien comprendre la différence entre les deux motos, nous allons vous faire partager un tour du circuit de Mettet. On vient de terminer la ligne droite, donc l’Aprilia part avec une grosse avance. Nous abordons le premier virage à gauche, qui se décompose en fait en deux parties. Les freins sont ici très importants pour retarder la prise d’angle le plus tard possible. Et pour déjà tester, la stabilité à grande vitesse sur l’angle. Les freins de la RS 660 sont un peu plus performants, et ce faisant, l’Aprilia reste également plus stable avec sa roue arrière bien collée sur le tarmac. Il est impossible de rétrograder “à la volée” avec la R7 qui ne dispose que, rappelons le, d’un quickshifter up. Tout doit être décomposé “à la main”. On contraire de l’Aprilia où tout ce fait instinctivement. Il est même possible d’inverser la grille de sélection. On remarque encore que cette phase de décélération (avec freinage et rétrogradage) ce fait de manière tout particulièrement souple. Surtout pour un bicylindre. Ce faisant, vous pouvez également obtenir une puissance de freinage “supplémentaire” en réglant le frein moteur un peu plus fort.

Faire des folies

Une fois sur l’angle, on ressent la stabilité supérieure de l’Aprilia plus mature. Elle bouge moins que la Yamaha, plus nerveuse à cet instant. L’enchaînement gauche/droite qui suit, est un moment important qui conditionne directement la petite ligne droite suivante. Les deux motos excellent dans cette phase de changement d’angle. Mais ensuite, l’Aprilia fait parler sa puissance supérieure en prenant quelques longueurs d’avance sur la Yamaha. On peut également affirmer qu’avec la RS 660, on ose accélérer un peu plus tôt, car le contrôle de la traction prend le relais en cas de problème. Même si la R7 donne une telle confiance que l’on est tout aussi prompt à remettre du gaz. Après tout, il fait sec, les pneus sont chauds et il faut déjà faire des folies pour arriver à faire décrocher la roue arrière avec 73 ch.

Catégorie supérieure

On pille sur les freins avant d’aborder l’épingle à droite qui nous conduit, sur le couple, vers le “tire-bouchon”. Ici, l’Aprilia ne gagne que quelques mètres au freinage. Juste le temps de le dire, et déjà nous volons – littéralement – dans le corkscrew où la R7 est capable de s’accrocher, sans être plus rapide. Ensuite, l’avance de l’Aprilia n’augmente plus jusqu’au boomerang (précédé d’un droite-gauche). Ici, la RS 660 utilise à nouveau son surplus de puissance et de stabilité à haute vitesse pour grappiller quelques mètres supplémentaires sur la R7. Le dernier virage serré à gauche avant la ligne droite et la ligne d’arrivée montre clairement que sur la piste, la RS 660 plus rapide est d’une catégorie supérieure à la courageuse R7.

Avant de conclure

Maintenant, vous vous posez la question suivante : sur quelle moto ai-je eu le plus de plaisir ? La Yamaha R7, plus lente et plus caractérielle, ou l’Aprilia RS 660, plus sophistiquée et plus rapide. Si vous êtes un amateur de sensations fortes, vous devriez opter pour l’Aprilia. Celle-ci vous donne une poussée d’adrénaline plus forte et est tout simplement la moto la plus rapide. Mais en termes de contenu purement ludique, peu de choses peuvent battre la Yamaha R7. La combinaison entre le moteur CP2, la simplicité et le sentiment que l’on peut tout en tirer font de la R7 une moto particulièrement gratifiante. Sans pourtant être très spéciale. Par conséquent, elle n’est pas nécessairement plus agréable que la RS 660, mais plus accessible.

Ne considérez pas l’Aprilia comme une rivale de la Yamaha, mais plutôt comme une moto de référence.

Si vous êtes sur le points d’acheter l’une de ces deux machines, nous aimerions vous donner le conseil suivant, en supposant que vous allez utiliser votre moto sur circuit. Achetez la R7 si vous avez peu ou pas d’expérience de la piste. C’est la meilleure base pour faire vos premiers pas dans cette discipline. Décidez vous-même si vous voulez également un Akra et un quickshifter, car avec ces options, vous atteindrez le budget de l’Aprilia. Nous ne dirons pas : “ne le faites pas et économisez pour passer à la… RS 660 dans quelques années”. Car ne considérez pas l’Aprilia comme une rivale de la Yamaha, mais plutôt comme une moto de référence. Après votre phase d’apprentissage avec la R7, vous pourrez commencer à jouer avec l’électronique d’une moto comme l’Aprilia et vous fixer comme objectif de meilleurs temps au tour.

Conclusion

Au début de ce test, nous nous étions posé la question suivante : l’Aprilia RS 660 Limited Edition vaut-elle 2 100 € de plus que la Yamaha R7 World GP 60th Anniversary ? La réponse à cette question est oui. La RS 660 est plus richement équipée, elle peut faire plus, offre plus et est la moto la plus rapide en fin de compte. En revanche, la Yamaha R7 offre presque autant de sensations fortes, même si elle est plus lente. Vous en descendrez toujours avec un large sourire. Dans un monde numérique où la technologie offre de plus en plus de possibilités, la Yamaha propose un plaisir simple et abordable. Aucun réglage, il suffit de monter dessus et gaz … C’est aussi un cadeau qui mérite autant d’admiration que la géniale Aprilia RS 660.

“Je vais te le dire encore une fois : arrête de passer devant moi tout le temps !”

AVEC UN GRAND MERCI …

… Au Circuit Jules Tacheny, pour nous avoir permis d’utiliser leur fantastique infrastructure. À Mettet, où de nombreux jours de piste sont organisés pour les motos, ce qui vaut vraiment la peine d’y aller au moins une fois. En outre, il n’est pas nécessaire d’être un pilote professionnel. En tant que débutant, vous pouvez également participer à une journée de roulage avec votre moto de route, avec ou sans encadrement. La veille ou le lendemain, vous pourrez encore profiter pleinement de cette région magnifique pour vous balader et découvrir des endroits magiques.

Plus d’info sur www.circuit-mettet.be

Photos : Jarno van Osch

Les + et les – : Aprilia RS 660

+ Souplesse, freins, moteur

– Prix élevé

Les + et les – : Yamaha R7

+ Prix, accessibilité, apparence, simplicité

– Changement de vitesse brutal, manque de puissance (en ligne droite).

Données techniques Aprilia RS 660 Limited Edition

MOTEUR    

Type : bicylindre vertical, refroidissement liquide, DOHC, quatre soupapes par cylindre

Cylindrée : 659cm3

Alésage x course : 81 x 64 mm

Taux de compression : 13,5:1 

Alimentation : injection électronique

Embrayage : multidisques en bain d’huile

Boîte de vitesse : à 6 rapports

Transmission finale : par chaîne

PRESTATIONS    

Puissance maximum : 100 ch (75,5 kW) à 10.500 tr/min

Couple maximum : 67 Nm à 8.500 tr/min

ELECTRONIQUE   

Moteur : cinq modes de conduite, frein moteur, régulateur de vitesse

Assistance : contrôle de traction, contrôle de wheeling

PARTIE-CYCLE    

Cadre : double poutre en aluminium

Suspension avant : fourche inversée de 41 mm

Options de réglage : entièrement réglable

Suspension arrière : monoshock

Options de réglage : entièrement réglable

Débattement av/ar : 120/130 mm

Frein avant : deux disques de 320mm, étriers radiaux Brembo à 4 pistons

Frein arrière : un disque de 220mm, étrier Brembo à deux pistons

Pneumatiques av/ar : 120/70 R17, 180/55 R17

DIMENSIONS & POIDS  

Empattement : 1.370 mm

Angle de châsse : 24,1°

Traînée : 104,6 mm

Hauteur de selle : 820 mm

Poids TPF : 183 kg 

Réservoir : 15 litres

PRIX & INFO  

Prix : 11.999 €

Importeur: Piaggio Benelux

Internet: www.aprilia.be

Données techniques Yamaha R7 World GP 60th Anniversary

MOTEUR    

Type : bicylindre vertical, refroidissement liquide, DOHC, quatre soupapes par cylindre

Cylindrée : 689cm3

Boring x slag: 80,0 x 68,6 mm

Taux de compression : 11,5:1

Alimentation : injection électronique

Embrayage : multidisques en bain d’huile

Boîte de vitesse : à 6 rapports

Transmission finale : par chaîne

PRESTATIONS    

Puissance maximum : 73,4 ch (54 kW) à 8.750 tr/min

Couple maximum : 67 Nm à 6.500 tr/min

ELECTRONIQUE   

Moteur : /

Assistances : /

PARTIE-CYCLE    

Cadre : Diamant diamant

Suspension avant : fourche inversée de 41mm UPSD

Options de réglage : entièrement réglable

Suspension arrière : monoshock

Options de réglage : précharge du ressort et amortissement du rebond

Débattements av/ar : 130/130 mm

Frein avant : deux disques de 298mm, étrier à quatre pistons

Frein arrière : un disque de 245mm, étrier à un piston

Pneumatiques av/ar : 120/70 R17, 180/55 R17

DIMENSIONS & POIDS  

Empattement : 1.395 mm

Angle de châsse : 23,4°

Traînée : 90 mm

Hauteur de selle : 835 mm

Poids TPF : 188 kg

Réservoir : 13 litres

PRIX & INFO  

Prix : 9.899 €

Importeur: Yamaha Benelux

Internet: www.yamaha-motor.be

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